Le tecke stakk

Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?

Se lancer dans l’écriture d’un site web, c’est un peu comme aller dans des sables mouvants.

D’abord, il y aura 2-3 zinzins qui ont fait NSI en Terminale qui vont vous sortir un site de malade mental codĂ© de leurs propres petites mains dans VS Code, avec du JavaScript digne des spaghettis bolognaise de maman mais avec du sucre Ă  la place de la sauce tomate. C’est largement possible, mais il faut avoir plus d’un problĂšme pour aimer faire ça.

Et puis vous avez les dĂ©veloloppeur konfirmĂ©s, qui mangent des framework Ă  tout va au petit-dĂ©jeuner, qui s’attaquent entre-eux parce qu’on a dit React quand il fallait dire Svelte ou autre next.js
 ah et au fait, c’est quoi ce truc qui s’appelle Bun et qui vient de sortir? J’installe!!1

En bref, tous les sites web sont fait en HTML et JavaScript a priori, mais dans les faits, il y a autant de maniùres d’en faire que de faire du cassoulet, c’est-à-dire beaucoup. et clairement ils sont pas tous aussi bons les uns que les autres.

Donc, demanderiez-vous, qu’est-ce que j’utilise pour mon site?

Et bien j’utilise des pages Ă©crites en Markdown, converties avec Astro, et stylĂ©es avec CSS ! Tout ça sur Debian avec neovim comme Ă©diteur de texte ! EwĂ©, ici on code pas sur emacs!! hjkhjkhkjhkl

Ce n’est pas les informations les plus fascinantes, mais je voulais en finir avec cette premiĂšre publication avant de retourner au travail
 puisque je n’ai pas mangĂ©, qu’il est dĂ©jĂ presque 14h et que ça fait 3h que je fous rien
 c’est trop fun la prĂ©pa


zooooooop, je file!